Call for panels, papers, and posters: APH Conference “Dynamizing and Decentring Empires: A Recalibration of the History of the Political” University of Münster, 11-13 June 2026
Empire Studies has been one of the most productive research areas of recent years and historians in this field working from security, colonialism, migration, state formation, the history of law and other angles are making valuable contributions to the history of the political. At the conference we aim to showcase and discuss the ongoing “dynamizing and decentring” impulses in current historical research on empires and examine how these developments intersect with and push forward broader efforts to recalibrate the history of the political.
In this conference we highlight the role of empires in world politics, not just as conquering entities on their own, but in the way they were embedded within webs of “transimperial” cooperation. (…)
We welcome proposals for Panels (3-4 panellists), Papers (in mixed panels), and Posters. Specific requirements are explained in the call below. Please direct your questions and send your proposals to: Dr. Lotte van Hasselt (RSPH/OPG), bureau(at)onderzoekschoolpolitiekegeschiedenis.nl
Association for Political History (APH), Research School Political History (RSPH/OPG), Utrecht University: Security History Network/History of International Relations (SHN), University of Münster: Centre for Empire Studies (CES) and ZNS Centre for Dutch Studies.
 
		 
                     Mit der Pariser Wochenzeitung Die Zukunft (1938–1940) gründeten Willi Münzenberg, der einflussreichste antifaschistische Medienmacher der Zwischenkriegszeit und der Katholik Werner Thormann ein visionäres Sprachrohr aller Hitler-Gegner. Unterstützt wurden sie dabei von Arthur Koestler und Manès Sperber sowie progressiven Christen und Sozialisten. Noch kurz vor dem Einbruch des Zweiten Weltkriegs entstand ein deutsch-französisches und europäisches Netzwerk, eine neue demokratische Alternative zum Kampf gegen das Hitlerregime und seinen Helfer Stalin: eine neue christlich-sozialistische Symbiose für ein neues Deutschlands in einem vereinten Europa.
Mit der Pariser Wochenzeitung Die Zukunft (1938–1940) gründeten Willi Münzenberg, der einflussreichste antifaschistische Medienmacher der Zwischenkriegszeit und der Katholik Werner Thormann ein visionäres Sprachrohr aller Hitler-Gegner. Unterstützt wurden sie dabei von Arthur Koestler und Manès Sperber sowie progressiven Christen und Sozialisten. Noch kurz vor dem Einbruch des Zweiten Weltkriegs entstand ein deutsch-französisches und europäisches Netzwerk, eine neue demokratische Alternative zum Kampf gegen das Hitlerregime und seinen Helfer Stalin: eine neue christlich-sozialistische Symbiose für ein neues Deutschlands in einem vereinten Europa. La certitude d’assister à un moment de bascule dans les équilibres du monde dessine la fin d’une ère qui a commencé en 1989-90, dans l’incrédulité, l’inquiétude mais aussi dans une joie intense. Plus encore que les changements réels qu’elle a entraînés, c’est le souvenir d’émotions puissantes qui fait la postérité de 1989, rare césure positive de l’histoire contemporaine.
La certitude d’assister à un moment de bascule dans les équilibres du monde dessine la fin d’une ère qui a commencé en 1989-90, dans l’incrédulité, l’inquiétude mais aussi dans une joie intense. Plus encore que les changements réels qu’elle a entraînés, c’est le souvenir d’émotions puissantes qui fait la postérité de 1989, rare césure positive de l’histoire contemporaine. L’histoire de la justice ouest-allemande après 1945 ne se résume pas à la question du passé national-socialiste. À travers l’histoire des rapports entre justice et médias, c’est le processus complexe d’adaptation d’une institution à la démocratie et aux mutations de l’après-guerre qui se dévoile. En se fondant sur une étude inédite du travail des services de presse de la justice et du quotidien des rapports entre magistrats et journalistes à différentes échelles, l’analyse montre comment les acteurs judiciaires ont réagi aux revendications des médias en matière d’accès à l’information ou encore à l’essor de la radio, puis de la télévision. À rebours de toute vision monolithique, cette histoire culturelle de la justice ouest-allemande entre 1945 et 1963 met au jour une pluralité de discours et de pratiques et des rapports aux médias
L’histoire de la justice ouest-allemande après 1945 ne se résume pas à la question du passé national-socialiste. À travers l’histoire des rapports entre justice et médias, c’est le processus complexe d’adaptation d’une institution à la démocratie et aux mutations de l’après-guerre qui se dévoile. En se fondant sur une étude inédite du travail des services de presse de la justice et du quotidien des rapports entre magistrats et journalistes à différentes échelles, l’analyse montre comment les acteurs judiciaires ont réagi aux revendications des médias en matière d’accès à l’information ou encore à l’essor de la radio, puis de la télévision. À rebours de toute vision monolithique, cette histoire culturelle de la justice ouest-allemande entre 1945 et 1963 met au jour une pluralité de discours et de pratiques et des rapports aux médias
 Ni complète ni irréprochable, la dénazification s’est donné pour ambition d’épurer et de rééduquer une population allemande jugée coupable d’avoir soutenu jusqu’au bout le régime criminel d’Adolf Hitler.
Ni complète ni irréprochable, la dénazification s’est donné pour ambition d’épurer et de rééduquer une population allemande jugée coupable d’avoir soutenu jusqu’au bout le régime criminel d’Adolf Hitler.